L’évènement était parrainé par le député Daniel Cohn-Bendit[3]. Voix off. Le journal était également disponible dans plus de 1 300 kiosques dans toute la France [réf. L’hebdomadaire franco-turc a annoncé lundi la fin de ses parutions papier et internet. Ses équipes ont réussi à imprimer une édition réduite du quotidien juste avant que la décision ne devienne effective. Le tirage payé en septembre 2015 est de 632 800 unités[1]. Un exemplaire du journal turc «Zaman», après la mise sous tutelle du gouvernement, le 6 mars. Zaman (français : Le Temps) est un quotidien national turc fondé le 3 novembre 1986 et disparu en 2016. et était le principal média güleniste en Turquie. Mis sous tutelle vendredi, le quotidien turc d'opposition Zaman a paru dimanche affichant une ligne progouvernentale. Dans un premier temps proche du Parti de la justice et du développement (AKP), des conflits ont apparu fin 2010 avec le gouvernement de Recep Tayyip Erdoğan, qui se sont notamment soldés par l’arrestation de plusieurs journalistes fin 2014[4]. L'agence de presse Cihan serait tombée sous le contrôle des autorités turques. Depuis le 5 mai, la publication hebdomadaire s’appelle De Kanttekening (“le commentaire”). Le 5 octobre 2015, Ekrem Dumanlı, rédacteur en chef du journal démissionne de son poste en invoquant les « pressions illégales » réalisées sur « la presse et sa propre personne » par le gouvernement[5]. L’édition néerlandaise du journal turc Zaman réapparaît sous un nouveau nom et tente de se débarrasser de l’étiquette “güléniste”. Notre avenir est ici.”, Turquie. Visage multilingue de la TRT dans le monde de l'internet, infos internationales et locales, infos de dernière minute, presse, média, actualité, sport, politique, économie, culture et art, monde, éducation, santé, vie, finances, vidéo, internet TV, émissions en direct, radio, Radio la Voix de la Turquie Zaman, bête noire du régime turc désormais domptée Zaman, le plus important journal d'opposition turc, est officiellement accusé par l'Etat de liens présumés avec le religieux musulman Fethullah Gülen, qui vit aux Etats-Unis, et que le gouvernement accuse d'avoir tenté de renverser le régime. selon les recommandations des projets correspondants. L’édition néerlandaise ne fut pas la première, les versions belge, allemande et française ayant déjà mis la clé sous la porte. Vous connaîtrez ainsi les informations importantes. C'est le premier quotidien turc en termes de diffusion payée (en septembre 2015 Zaman déclare deux fois plus de ventes que le second, Hürriyet)[1]. Regardez le reportage et retrouvez le commentaire de chaque image. Le 27 juillet, les autorités turques ferment 131 organes de presse : 45 journaux (dont Zaman et sa version anglaise Today's Zaman)[9], 29 maisons d'édition, 23 stations de radio, 16 chaînes de télévision, 15 magazines et 3 agences de presse[10]. Des supporters du journal turc Zaman manifestent contre l'arrestation de journalistes devant le siège de la police d'Istanbul le 15 décembre 2014 (Photo Ozan Kose. Les journalistes sont remplacés et à partir du 6 mars, Zaman adopte une ligne éditoriale pro-Erdoğan. “De nombreux lecteurs avaient résilié leur abonnement”, et les recettes publicitaires avaient chuté, car “les annonceurs turcs ne voulaient pas être associés à un journal ouvertement güléniste”. Le conseil d'administration de Zaman Belgique a confirmé mercredi que les versions papier et digitale du journal turc ferment en Belgique, confirmant ainsi l'annonce mardi du site d'informations néerlando-turc "Zaman Vandaag". La dernière modification de cette page a été faite le 29 janvier 2021 à 00:49. “Des sympathisants du mouvement aux Pays-Bas étaient harcelés, menacés et insultés. J’entends dire que le lectorat turc s’est un peu lassé des infos sur la Turquie. Début mai 2011 le rapport officiel de tirage indiquait une diffusion payée totale d'un peu plus d'un million d'unités, alors que la vente au guichet représentait 22 434 unités. Les 97,7% restant sont déclarés comme « vente aux abonnés », un chiffre éloigné de la réalité selon soL Haber, et qui désigne selon lui une diffusion gratuite, quotidienne, permanente, informelle et en grandes quantités notamment dans des lieux publics : commissariats, écoles, lycées, immeubles, concessionnaires automobiles[2]…. Mais M. Cerit, cité par Trouw, se veut confiant : Je ne pense pas que [nos lecteurs] vont décrocher. Le service diplomatique de l'Union européenne a diffusé un communiqué qui indique que «l'UE a constamment souligné que la Turquie, en tant que pays candidat, doit respecter et promouvoir des normes et pratiques démocratiques élevées, dont la liberté des médias». Manifestation en soutien au journal turc Zaman, déjà inquiété par la justice, le 15 décembre 2014, à Istanbul. et était le principal média güleniste en Turquie. Il appartenait au groupe Feza Gazetecilik A.Ş. « Mettre un journal sous tutelle », c’est le faire contrôler par une autorité administrative pour imposer un intérêt public supérieur. Non, tout ne va pas bien aux Pays-Bas, Découvrez toutes nos offres d'abonnement à partir de 1€, Créez votre compte pour profiter de l'édition abonnés sur le site et les applications. Nous vivons aux Pays-Bas. Après la tentative de coup d’État de juillet 2016 en Turquie, Zaman Vandaag était sur le fil du rasoir, explique Trouw. Fondé en septembre 2005, il est d'abord mensuel avant de devenir hebdomadaire en février 2008 et de cesser sa parution en 2016. À la suite de la tentative de coup d'état de juillet 2016, la justice turque émet des mandats d'arrêt contre 47 anciens employés du quotidien Zaman[8].
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