Dans le domaine des missions planétaires, ce budget confirme toutes les missions d'explorations robotiques à destination de la Lune, d'astéroïdes, de Titan et d'Europe (Jupiter) déjà engagées. Dans le plan rendu public de la Nasa, ce camp de base comptera un rover non pressurisé, une plateforme de mobilité habitable, un module d'habitation de base lunaire, des systèmes d'alimentation et des unités d'utilisation des ressources in situ. Accueil; Sciences; Voici les trois atterrisseurs retenus par la Nasa pour retourner sur la Lune en 2024. Le séjour sur le sol lunaire est prévu pour durer environ une semaine. Au delà des services précurseurs de livraison de fret, d'instruments scientifiques et de démonstrateurs de toutes sortes, réalisés dans le cadre du programme Commercial Lunar Payload Services (CLPS) de la Nasa, le secteur privé s'intéresse à la Lune pour y développer des services de transports de marchandises et de personnes au profit des agences spatiales, organiser des activités touristiques et exploiter commercialement les ressources in situ de la Lune. Ceci étant dit, nous savions dès le départ que cet objectif de 2024 était très ambitieux. Et, franchement, je ne pense pas que quiconque ait pensé que le calendrier 2024 était à un moment donné réaliste ». Le vote par 418 voix contre 7 du Science, State, Justice, Commerce, and Related Agencies Appropriations Act de 2006 attribue donc comme prévu à l'agence spatiale un budget en hausse de 2,4% par rapport à l'exercice précédent, soit 16,5 milliards de dollars en tout. Enfin, la Nasa n'a pas plus de certitudes pour Artemis 4, la deuxième mission habitée du programme. Ces deux modules, le module de propulsion et de production d'énergie (PPE, Power Propulsion Element) et le module d'habitation Halo (Habitation and Logistics Outpost), seront en mesure de fonctionner de manière autonome, en menant des expériences scientifiques à distance lorsque les astronautes ne seront pas à bord. _g1.classList.remove('lazyload'); Dans le domaine de l'exploration, les demandes pour le financement des alunisseurs HLS du programme Artemis ont été largement revues à la baisse. D’ici 2024, entre ces missions de démonstration, la Nasa enverra aussi de nombreuses petites missions robots vers la Lune, en collaboration avec ses partenaires privés, et à raison de deux chaque année à partir de 2021. [EN VIDÉO] Les neuf femmes astronautes candidates pour le programme lunaire Artemis  Qui sera la première femme à marcher sur la Lune au cours de la décennie ? Les Américains marcheront-ils à nouveau sur la Lune dès 2024 ? Un demi-siècle plus tard, le pays fixe l'objectif de 2024 pour un retour sur la lune. «Je pense que les gens réévalueront le calendrier à coup sûr. Promulgué le 21 décembre 2020, le dernier budget de la Nasa de l'administration Trump, pour l'année fiscale 2021, s'élève à 23,27 milliards de dollars. WASHINGTON – Une sénatrice clé a déclaré qu’elle continuera à faire pression pour l’adoption lors d’une session boiteuse d’un projet de loi d’autorisation de la NASA qui soutient le programme d’exploration lunaire Artemis, mais pas nécessairement l’objectif de l’agence de ramener les humains sur la lune d’ici 2024. Ce budget est un des plus importants depuis l'ère Apollo. Pressé par un potentiel second et ultime mandat qui prendrait fin en 2024, le président a imposé cette date, alors même que la Nasa prévoyait cette expédition au minimum quatre … Tap to unmute. Le Congrès souhaitant que l'équipe du projet se finance avec le budget de 2020. } Une déclaration qui ne remet évidemment pas en cause les plans américains de long terme prévoyant la colonisation du pôle sud lunaire. Viendront ensuite les missions Artemis 2, une mission habitée en orbite autour de la Lune (probablement en 2022), puis Artemis 3, qui mènera normalement les astronautes à se poser sur le sol lunaire en 2024. Pour atteindre l'objectif du président Donald Trump de faire atterrir des astronautes sur la Lune dès 2024, puis sur Mars lors de la décennie suivante, le prochain budget de la Nasa est annoncé comme un des plus importants de ces dernières décennies. Publié par Julie Ramdani, le mercredi 23 septembre 2020 à 6:14. var _g1; ils descendront sur la Lune à bord d’un véhicule appelé atterrisseur, C'est notamment le cas de Clarreo Pathfinder (spectromètre à rayonnement solaire sur l'ISS) et Pace Earth Science (étude du phytoplancton). Ce budget qui, rappelons-le, n'est en l'état qu'une « requête présidentielle » dans le jargon américain, va maintenant suivre un parcours législatif codifié avant qu'il ne soit définitivement adopté le 30 septembre 2020, après que le Congrès réuni en séance plénière (Chambre et Sénat) l'agrée. Le retour des humains sur la Lune est prévu pour 2024 dans le cadre du programme Artemis : 55 ans après Apollo, l'équipage devrait être constitué d'un homme et d'une femme avec l'objectif d'installer une base pérenne sur notre satellite. Cela dit, comme l'explique le représentant du Cnes à l'ambassade de France aux États-Unis, cette annonce sera « très certainement retardée compte tenu des faibles financements obtenus et d'un très probable report de la date d'alunissage par la nouvelle administration Biden dont les intentions en matière spatiale demeurent encore relativement incertaines ». Viendront ensuite les missions Artemis 2 et Artemis 3. Quelles sont vos chances de gagner au loto ? Le premier, Artemis 1, sera une mission non habitée autour de la Lune. En 2021, une capsule Orion lancée par le SLS fera le voyage à vide autour de la Lune tandis qu'Artemis 2, prévue en 2023, réalisera un vol habité autour de la Lune. Il s’agira également de développer et de tester de nouvelles approches, technologies et systèmes permettant une exploration plus simple et à moindres coûts de l’espace lointain (exploration de Mars en vue). L'idée de Jim Bridenstine se défend. L'identité des deux consortiums d'entreprises encore en lice pour le réaliser, dont le coût est estimé à 16 milliards de dollars, devait être annoncée en février. Comment les États-Unis retourneront sur la Lune. Beaucoup avait alors justifié cette échéance par l’idée qu’en cas de succès, ce retour sur la Lune pourrait être opéré sous la présidence de Donald Trump, en cas de réélection. } catch(e) {}, par - YouTube. Les activités dans de nombreux secteurs sont en suspens en raison de la crise sanitaire mondiale due au coronavirus. La Nasa a assuré lundi qu'elle misait toujours sur un retour d'astronautes américains sur la Lune en 2024. 24 milliards d'euros pour retourner sur la Lune, La Nasa va soutenir une mission privée d'exploration d'Encelade, Mars et ça repart : bilan scientifique après cette demi année martienne. Cela fait presque 50 ans que les derniers astronautes ont quitté la Lune lors de la mission Apollo 17 en 1972. Retour sur la Lune en 2024: le plus gros obstacle Les Américains marcheront-ils à nouveau sur la Lune dès 2024 ? RETOUR SUR LA LUNE EN 2024 - Voilà comment se déroulera une mission Artémis ! Les lave-linge séchants en test - voir ici ! Comme chacun sait, la NASA prévoit de reposer les pieds sur la Lune dès 2024 dans le cadre de son programme Artemis. _g1.setAttribute('srcset', _g1.getAttribute('data-srcset')); Vingt-huit-milliards de dollars américains sont le coût de la prochaine mission de la NASA, Artémis, prévue dans son nouveau plan complet qu’elle vient de … Copy link. Quel budget étudiant prévoir pour la nourriture ? Avant d'envoyer deux astronautes sur la Lune, deux missions Artemis sont nécessaires. On vous les présente en vidéo. Or, comme l'a récemment déclaré James Morhard, l'administrateur adjoint de la Nasa nommé par Donald Trump en juillet 2018, il en coûterait quelque 35 milliards de dollars aux États-Unis pour retourner sur la Lune dès 2024, nécessitant des augmentations régulières sur cinq ans pour atteindre l'objectif du président américain de faire atterrir des astronautes sur la Lune dès 2024. Si il y a de la vie sur Proxima b, elle vient de passer un sale quart d’heure, Retour sur la Lune : en choisissant SpaceX, la NASA fait un pari sur l’avenir, 2020 a été l’année la plus chaude jamais observée en Europe, Si il y a de la vie sur Mars, elle peut-être juste sous la surface, Covid-19 : un variant “triple mutant” découvert en Inde, Voici quelles seront les premières cibles du James Webb Telescope, Un instrument babylonien a permis de déterminer le Nord géographique de Mars, Retour sur la Lune : Blue Origin conteste vivement la décision de la NASA, Exploration : la NASA pense déjà aux successeurs d’Ingenuity, Voici l’encornet géant et son bec aussi résistant que redoutable, Il y a 12 000 ans, l’Homme avait déjà modifié près des trois quarts de l’espace terrestre. Le patron de la Nasa a fait cette déclaration lors d'une réunion en ligne réunissant le groupe de coordination de l'exploration lunaire de la Nasa (LEAG) : « Il pourrait être avantageux d'envoyer une mission dans les régions équatoriales de la Lune, et pourquoi pas à proximité d'un des cinq sites d’atterrissages du programme Apollo ». Programme Artemis: retour d’humains sur la Lune. Une décision confortée par l'essai raté du test des moteurs de l’étage principal du SLS. À la différence des missions Apollo, qui se sont contentées de courts séjours scientifiques et de démonstrations technologiques, Artemis s'inscrit dans une stratégie plus vaste qui consiste à étendre jusqu'à la Lune la sphère d'influence géostratégique et économique des États-Unis. Depuis, la situation américaine a évolué. © Nasa. if ( localStorage.getItem(skinItemId ) ) { Une situation inédite depuis la dernière mission lunaire Apollo en 1972. L'industrie spatiale ne fait pas exception à la règle. Viendront ensuite les missions Artemis 2 et Artemis 3. À la fin du séjour au sol, prévu pour durer de 30 à 45 jours, les deux astronautes retourneront à bord du Gateway et simuleront le voyage du retour vers la Terre. _g1 = document.getElementById('g1-logo-inverted-img'); Et cette année, s'appuyant sur les estimations et besoins budgétaires de la Nasa, l'administration Trump a présenté un budget de 25,2 milliards de dollars pour l'année 2021, en hausse de plus de 2,5 milliards de dollars par rapport au budget précédent. Nous devons ainsi nous attendre à un renforcement des missions d’observation de la Terre de la NASA et de la National Oceanic and Atmospheric Administration pour mieux comprendre le réchauffement climatique et son impact sur notre planète. essai raté du test des moteurs de l’étage principal du SLS. L’atterrissage au pôle sud est un objectif fixé par le vice-président Mike Pence en mars 2019 lors d’une réunion du Conseil national de l’espace, enjoignant la Nasa à avancer à 2024, plutôt que 2028, son retour sur la Lune. Le premier, Artemis 1, sera une mission non habitée autour de la Lune. Après Artemis 3 en 2024, les États-Unis et leurs partenaires internationaux développeront une présence prolongée et stratégique au pôle Sud lunaire, avec le Camp de base Artemis. var _g1; La Nasa n'a pas encore tranché mais voici toutes celles qui ont été sélectionnées. Alors que les Américains se préparent à envoyer un équipage dès 2024, la Nasa prépare également les étapes suivantes qui amèneront les États-Unis jusqu'à Mars. Comme chaque année, la proposition de budget de la Maison Blanche pour la Nasa est très attendue car elle reflète les priorités nationales en matière de politique spatiale. Elle a réaffirmé sa volonté de se poser au pôle Sud de la Lune, malgré d'indéniables difficultés techniques, et d'y établir un camp de base pérenne. Et d'autres abritent de nombreux cratères dont les planchers ne voient jamais la lumière du jour, recélant potentiellement d'épais dépôts de glace de plusieurs mètres d'épaisseur parfois. Nom de code Artémis But de la mission : Déposer un homme et une femme sur la lune avant 2024. En 2017, l’administration Trump demandait à la NASA de renvoyer des humains sur la Lune en 2024. Article de Rémy Decourt publié le 12/02/2020. On notera que la Maison Blanche demande une nouvelle fois l'abandon de WFIRST, qui doit succéder à James-Webb. L'observatoire aéroporté Sofia est lui aussi sur la sellette pour cause de retour scientifique jugé insuffisant. La première sera une mission habitée en orbite autour de la Lune, tandis que la seconde mènera le prochain homme et la première femme à se poser sur le sol lunaire. Le président élu n’a, à ce jour, pas beaucoup parlé publiquement de la NASA ou de l’exploration spatiale. Comment établir votre budget mensuel étudiant ? A priori, il n’est pas question d’annuler le programme Artemis. _g1.setAttribute('src', _g1.getAttribute('data-src') ); Ce retour d'expérience, aussi instructif soit-il, ne sera pas suffisant pour décider du lieu d'atterrissage d'Artemis. Un changement de région du site d'atterrissage (pôle sud vs régions équatoriales) aurait une incidence sur la science qui pourrait être effectuée lors d'Artemis 3 et donc la préparation de la mission. Cette feuille de route détaille les différentes étapes pour doter le camp de base Artemis, année après année, d'une importante infrastructure ; celle-ci a pour objectif de donner l'autonomie nécessaire à la présence humaine permanente et préparer l'étape martienne, et l'expansion dans l'espace lointain. Mais pour Donald Trump, ce n’est pas assez rapide. Les montants alloués à l'aéronautique et la recherche (hors exploration) restent inchangés, à hauteur de 906 millions de dollars et 5,51 milliards de dollars. S’il n’en tient qu’à Donald Trump, les États-Unis remettront le pied sur la lune en 2024 afin de préparer une mission vers Mars en 2033. Le pôle sud est aussi d'un très grand intérêt scientifique mais aussi économiquement stratégique en raison de l'exploitation de ses ressources. Vue d'artiste de la future station spatiale lunaire Gateway. La combinaison des astronautes n'aura rien à voir avec celle des missions Apollo. Rappelons que la NASA prévoit un vol non habité autour de la Lune dès cette année (Artemis I). Sont également confirmées les missions SphereX, pour explorer les origines de l'univers et de la vie, Gusto, qui prévoit d'étudier la matière présente dans le milieu interstellaire et IXPE l'étude des trous noirs. Alors que les plans actuels de la Nasa prévoient que la mission Artemis 3 atterrisse au pôle sud lunaire avec un équipage de deux astronautes, Jim Bridenstine, l'administrateur de la Nasa, a suggéré que cette première mission habitée pourrait ne pas forcément atterrir au pôle sud. Dans ce scénario, un équipage de quatre personnes se rendrait à la passerelle et y resterait pendant plusieurs mois, imitant le voyage vers Mars. Deux des quatre membres d'équipage y séjourneront pendant que les deux autres descendront sur la Lune. Watch later. À seulement quatre ans de cette échéance, la plupart des voyants sont au vert, malgré des contraintes budgétaires et calendaires. Une mission Chang'e 6 pour la face cachée de la Lune et avec une charge utile scientifique française. Les États-Unis, deuxième pays émetteur de gaz à effet de serre, pourraient alors endosser un rôle de leader dans l’action climatique, malgré le retard essuyé. Mais, avec une ligne de crédit supplémentaire de 415 millions de dollars, le budget total de ce programme approche les 10 milliards de dollars ! Article de Rémy Decourt publié le 18/09/20. Quant à l'observatoire James-Webb, son lancement est toujours prévu en mars 2021. 2 janvier 2021, 17 h 09 min. Malgré un budget 2021 à plus de 23 milliards de dollars, la Nasa pourrait ne pas être au rendez-vous de 2024, date à laquelle le président Trump souhaitait le retour de l'Homme sur la Lune. Détail du budget 2021 de la Nasa qui indique notamment la requête budgétaire de l'administration Trump et ce que, finalement, le Congrès a octroyé. Nos explications. Cependant, nous savons que le Parti démocrate approuve explicitement la vision large d’Artemis : « Nous soutenons le travail de la NASA pour ramener les Américains sur la Lune et au-delà, franchissant la prochaine étape dans l’exploration de notre système solaire », peut-on notamment lire sur la plate-forme 2020 du Parti. Quant au Camp de base Artemis, au fil des années, il s'agrandira jusqu'à devenir une base autonome en énergie mais sera dépendant de la Terre pour la nourriture, et très certainement aussi pour la consommation d'eau potable. « Je n’ai pas de boule de cristal », avait-elle déclaré. Le retour des Etats-Unis sur la Lune en 2024 de plus en plus compromis. Eric Stallmer, vice-président exécutif des affaires gouvernementales et de la politique publique chez Voyager Space Holdings, partage son avis. Après 40 jours passés dans une grotte, les “confinés” du projet Deep Time sont enfin sortis ! « Mais nous allons essayer. Et d'ajouter « qu'aucune décision n'avait été prise pour le moment. En décembre 2017, le président américain Donald Trump signait une directive visant à donner la priorité aux efforts de l’administration pour faire progresser l’exploration spatiale, principalement en renvoyant des astronautes américains sur la Lune. Le programme Artemis, signant le retour de la Nasa sur la Lune, n'est qu'une étape. Interrogée en juin dernier sur la bonne tenue du calendrier Artemis, la nouvelle cheffe de file des programmes de vols spatiaux humains de la NASA, Kathy Lueders, a elle aussi convenu que cet objectif serait tout de même difficile à atteindre. Quant à la future station lunaire internationale à proximité de la Lune, la Nasa envisage d'ajouter un module d'habitation à grand volume. Nasa : 50 ans après Apollo, un budget pour reconquérir la Lune et au-delà... En 2024, Artemis 3 signera le grand retour des Américains sur la Lune. } C'est le souhait annoncé par Donald Trump il y a quelques semaines. La mission CMS, destinée à surveiller dans l'atmosphère le dioxyde de carbone et le méthane, est relancée. Certains endroits bénéficient d'un ensoleillement quasi permanent, ce qui présente un atout considérable en matière de production d'énergie au moyen de panneaux solaires. Si le potentiel de découvertes et d'avancées scientifiques significatives est tout de même assez limité, vu l'état de nos connaissances, la Lune est néanmoins un terrain propice pour y faire de la science, surtout sur la face cachée particulièrement propice à l'écoute des ondes radio de l'Univers, à l'abri de la pollution radioélectrique de la Terre. Nous continuons à identifier les sites d'atterrissage des premières missions Artemis, en lien avec la communauté scientifique ». Sept jours sur la Lune. Ces deux astronautes devront préparer le terrain à la construction d'une base lunaire avancée et construire une infrastructure pour permettre l'extraction de plusieurs ressources comme de l'eau (présente sous forme de glace Aujourd'hui, la Nasa n'est évidemment pas prête pour une mission habitée à destination de Mars. (…) Je pense qu’il est très important d’avoir un objectif agressif. On vous les présente en vidéo. Au pôle sud de la Lune, la Nasa étudie plusieurs sites pour implanter le camp de base des missions Artemis. Une manœuvre non prévue initialement a été ajoutée au programme des deux astronautes à bord pour s'assurer de la maniabilité et de l'agilité de la capsule lors des opérations de rendez-vous en orbite. La Nasa n'a pas encore tranché si l'équipage transitera par le Gateway (la petite station spatiale située à proximité de la Lune) ou s'amarrera directement au système d'atterrissage habité, fourni par un consortium privé, que la Nasa choisira parmi trois projets d'atterrisseurs lunaires de Blue Origin, SpaceX et Dynetics (avec Thales Alenia Space). Sur sa plate-forme, le Parti Démocrate exprime également un engagement fort en faveur de la lutte contre le changement climatique. Les obstacles pour retourner sur la Lune dès 2024 sont nombreux et … Une femme et un homme doivent poser un pied sur le pôle Sud de la Lune en 2024. Son patron, Jim Bridenstine, a évoqué l'idée d'un atterrissage à proximité d'un des cinq sites des missions Apollo. Malgré le peu d'intérêt de Donald Trump pour l'observation de la Terre, il alloue tout de même un budget de 1,78 milliard de dollars au programme d'observation de la Terre et confirme tous les autres projets à un stade de développement avancé. Cette station et le camp de base Artemis seront utilisés pour simuler une expédition sur Mars. La Chine s’apprête à lancer le premier module de sa station spatiale, VIDÉO – Google Earth dévoile des millions d’images pour visualiser l’évolution de la planète, L’homme qui a mis sa tête dans un accélérateur de particules (en marche). Cependant, plusieurs missions robotiques commerciales, réalisées dans le cadre du programme CLPS (Commercial Lunar Payload Services) de la Nasa, devraient s'y poser avant Artemis 3. Sous réserve que son financement suive et qu'aucun accident industriel ou opérationnel ne se produise, la Nasa confirme pouvoir atterrir sur la Lune en 2024, conformément aux souhaits du président Donald Trump. Deux astronautes séjourneront ensuite sur la Lune pour feindre une expédition martienne tandis que les deux autres resteront à bord de la station, en soutien. L'exploration de la planète Mars - 2003 l'année martienne ! © Nasa. Les amateurs d’exploration spatiale en débattent passionnément depuis deux semaines. Quant au projet de faire atterrir un module sur la surface de la banquise d’Europe au delà de la décennie 2030 et à la suite de la mission Europa Clipper, le Congrès n'apporte aucun financement. Magazine de vulgarisation scientifique, Sciencepost vous dévoile chaque jour les dernières découvertes et avancées en terme de sciences et nouvelles technologies. Enfin, le Congrès a demandé à la Nasa de lui transmettre d'ici fin juin un rapport sur la mise en place d'un relais de communication entre Mars et la Terre. Avant de se décider, la Nasa, qui utilisera un système d'atterrissage privé pour transporter ses équipages entre l'orbite lunaire et la surface de la Lune, a aussi besoin de voir quelles seront les capacités de ces atterrisseurs et à quels endroits ils pourront réellement se rendre. Cela permet à l’équipe de se concentrer sur l’importance de la mission ». Les obstacles technologiques. Cette région de la Lune présente de nombreux avantages pour accueillir des humains. Toutefois, certains experts jugent cette échéance trop ambitieuse. Brice Louvet, rédacteur sciences module sur la surface de la banquise d’Europe, La Nasa retient ces trois projets d'atterrisseurs lunaires, Nasa : un projet de loi veut privilégier l’exploration de Mars. C'est une approbation massive que vient de donner la Chambre des Représentants à la nouvelle politique spatiale américaine Vision for Space Exploration. Cela comprend le développement d'un système d'atterrissage lunaire humain, les éléments initiaux de l'avant-poste lunaire LOP-G qui servira de point de départ pour l'exploration de la Lune puis de Mars et tous les équipements nécessaires pour vivre et travailler en sécurité sur la Lune qu'il serait trop long de détailler. Les États-Unis vont-ils vraiment pouvoir retourner sur la Lune en 2024 ? Dans un rapport rendu public, la Nasa a détaillé sa stratégie de retour sur la Lune, prévu en 2024, qui doit ramener des astronautes sur la surface lunaire pour la première fois depuis 1972. © Cnes. Sauf un revirement politique majeur qui pourrait intervenir lors de la prochaine élection présidentielle prévue le 3 novembre aux États-Unis ou lors de votes au Congrès sur le financement du programme, cette fois-ci les Américains semblent bien partis pour s'installer durablement sur la Lune. Share. Les activités qui se dérouleront sur ce camp de base ouvriront la voie à des activités scientifiques et économiques, ainsi qu'à la préparation de la première mission humaine sur Mars dans les années 2030. Les astronautes de retour sur la Lune en 2024. Dans un rapport rendu public, la Nasa a détaillé sa stratégie de retour sur la Lune, prévu en 2024, qui doit ramener des astronautes sur la surface lunaire pour la première fois depuis 1972. Une femme sur la Lune en 2024: après Apollo, la Nasa baptise son programme Artemis L’administrateur général de la Nasa Jim Bridenstine a annoncé lundi … _g1 = document.getElementById('g1-logo-mobile-inverted-img'); «Je m’attends à ce que l’objectif 2024 disparaisse », a déclaré à Space.com l’expert en politique spatiale John Logsdon, professeur émérite de sciences politiques et d’affaires internationales à la Elliott School of International Affairs de l’Université George Washington. La première, Artémis 3, est prévue pour 2024 et doit signer le retour des astronautes à la surface lunaire. Un projet auquel l'Europe et la France seront associés. Publié le 01/02/2021 - Modifié le 02/02/2021. Info. Elle servira également à tester et à préparer la première mission humaine à destination de Mars prévue dans la décennie 2030. Quant aux autres institutions scientifiques, l'évolution de leurs budgets reste plus mitigée : + 0,5% pour les National Institutes of Health (NIH), - 0,4% pour le budget de la recherche du Department of Energy (DOE), + 2,3% pour les activités de recherche et développement (R&D) de la National Science Foundation (NSF) et + 1,3% pour la R&D du Department of Homeland Security (DHS). Shopping. Ce vote qui rejoint dans l'ensemble la proposition présidentielle reste maintenant à confirmer au Sénat. Aux traditionnelles retombées et transferts technologiques qui découleront de la réalisation des infrastructures et des systèmes lunaires pour vivre, travailler et se déplacer en sécurité sur la Lune, le secteur privé s'apprête à ouvrir de nouveaux marchés. La NASA a publié une version actualisée de son programme Artemis visant à renvoyer des astronautes américains sur la Lune et à y établir une présence humaine permanente, en débutant par l'atterrissage de la première femme et du prochain homme sur la Lune en 2024. S’il n’en tient qu’à Donald Trump, les États-Unis remettront le pied sur la lune en 2024 afin de préparer une mission vers Mars en 2033.

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